"Nul passé, nul futur, le présent est l’état limite de la Matière. L’œil comme le noyau de la cellule, au niveau biologique et physique, se comportent comme un Trou Noir" ©
Ceci n'est en définitive qu'un post de plus et pourtant, ceci est aussi mon point d'arrivée, non définitif, de mon insatiable recherche sur la matière /énergie/ information, combien même ce message passera dans la Trappe de l'Univers comme tout le reste. Pour autant je sais que :
1 que divise 1 ne donne que lui-même et au même moment, son reste nul demeure le vide, un vide porteur d’une information et d’une énergie qui potentiellement favorisent la reconduction de cette opération à l’infini.
Cela signifie que : plus l’unité se divise par elle-même, plus elle multiplie son vide en elle-même à l’infini ; ainsi ce n’est plus le temps qui est la constante mais le vide, le vide quantique. Nul passé, nul futur, le présent est l’état limite de la Matière qui se multiplie d’elle-même, en elle-même et nous sommes son but. Nous sommes le projet d’une multiplication involutive et non le résultat d’une division cellulaire. Lorsque l’Univers entame son expansion, le seul espace qu’il déploie est celui qu’il crée en se dilatant, l’Univers se crée de l’espace et du temps pour se déployer. Le réel est un vide quantique qui fluctue de toute éternité pour se jeter délibérément dans un trou noir.
Ceci est l’une des conclusions de ma recherche, j’ai déterminé une équation qui démontre que L’œil et le noyau de la cellule (espace mouvant et déformables comme le continuum espace/temps) se comportent à l’échelle biologique comme un trou Noir ce qui signifie que biologiquement nous absorbons la matière autant que nous la créons. Il reste à concevoir les ini-maginables implications issues de cette équation : les sens sont les voies de la Création et nous créons la matière physique en utilisant la vitalité interne de l’Univers de la même manière que nous pouvons former une image en projetant notre haleine sur une vitre.
Transducteurs d’énergies, condensateurs d’énergies nous, êtres vivants, propulsons nos désirs dans la matière et participons à son expansion, quand les atomes se rejoignent pour former la matière, ils cherchent leur propre accomplissement à travers la forme.
Le Merveilleux est dans nos yeux, sous nos yeux, partie de nous et parti de nous.
A chacun d’accueillir Cela.
Je transmettrai les implications de cette découverte dans mes prochains enseignements .
Pascale de Gail Athis
Fondatrice de la PBQ © ®, Psychobiologie Quantique © ®
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